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    主演:彼得·比尔德 Sheila Finn Martin Greenbaum Peggy Steffans Jerome Raphael Blanche Dee 杰罗姆·希尔 泰勒·米德 Stoney Emshwiller 艾德·艾姆许维勒 苏珊·艾姆许维勒 Eve Emshwiller Richard Barthelmess 丽莲·吉许 David C. Stone 

    导演:阿道法斯·梅卡斯

    简介:&l啦啦啦视频在线观看高清免费t;p>  After courting a woman called Vera for seven years, friends Jack and Leo decide to seclude themselves in the Vermont woods near her home, when she finally decides to accept a third man 360口袋网called Gideon.

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    主演:乔纳斯·梅卡斯 阿道法斯·梅卡斯 肯·雅各布斯 彼得·比尔德 艾德·艾姆许维勒 

    导演:乔纳斯·梅卡斯

    简介:  一部由六段分攝於不同時11度青春之老男孩期的膠卷所組合成的編年記事。約拿斯.梅卡斯以第一人稱的日記體,闡述他自1940年代從立陶宛流亡至美國的心情。梅卡斯的鏡頭關照著移民社群的日常,也在他方尋找自己的家,如同片中的自述:「我是攝影機的眼睛,我是見證者,我記錄了這一切。我不知道,我是在歌唱還是哭泣?」

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    主演:蒂莫西·利瑞 艾德·艾姆许维勒 Franz Fuenstler 杰克·史密斯 Mario Montez 尼可 伊迪·塞奇威克 安迪·沃霍尔 朱迪丝·马利纳 Storm De Hirsch 诺曼·梅勒 艾伦·金斯堡 约翰·列侬 小野洋子 Leo Adams 斯坦·布拉哈格 卡尔·西奥多·德莱叶 

    导演:乔纳斯·梅卡斯

    简介:  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les 电视剧富贵门indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000

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